Lundi 30 juillet, atterissage à Séville à 11h40. Le bus nous emmmène direct de l'aéroport devant notre hôtel. Le pied ! J'avais réservé l'hôtel en cherchant sur Booking.com mais en passant direct par l'hôtel au final, sachez qu'il faut toujours vérifier car les prix ne sont pas forcément les meilleurs sur les sites de réservations.

L'hôtel Becker, 4 étoiles aux normes locales s'est révélé un excellent choix, grande et calme chambre, piscine et solarium agréables, petit déj sur la terrasse avec vue et personnel sympathique. Cerise sur le gâteau, on pouvait faire le trajet à pieds pour tous les monuments importants. Ce qui a contribué à rendre notre séjour encore plus sympa.

Le temps de se poser et d'étudier les plans de la ville, nous étions dehors pour commencer la découverte. Petite balade dans le quartier de l'hôtel pour se repérer et on remarque un magnifique toit d'église. L'iglesia Magdalena n'est ouverte que le soir, on reviendra.

Direction les berges du Guadalquivir, pour ma part, étonnant de voir un fleuve avec de l'eau en Espagne surtout ici dans le Sud. Il faisait chaud c'est vrai mais nous avons tenu le coup jusqu'à 15h30 avant de rentrer se reposer à l'hôtel et profiter de la piscine.

Sur le fleuve se dresse le Musée de la Marine ou Torre del Oro. C'était gratuit ce jour là, nous sommes donc montées pour admirer la vue sur la ville. Première découverte de Séville pleine de promesses.

Musée de la marine / Torre del oro

Retour au calme et repos au bord de la piscine avant de partir découvrir les abords de l'hôtel et la Paroisse Santa Maria Magdalena. Ce n'est pas une église touristique comme d'autres peuvent l'être à Séville, ici on vient pour prier et se recueillir et il n'y a quasiment que des locaux. Nous avons donc joué le jeu de la discrétion mais je n'ai pu m'empêcher de prendre des photos en douce tellement c'était incroyable. Cette église est sublime et il faut la voir quand on va à Séville.

En sortant on a continué la promenade jusqu'à la Plaza de la Encarnación et son fameux Metropol Parasol, construction moderne qui contraste avec tout le reste mais qui a son charme. On peut monter dans ses "champignons" mais ce sera pour une prochaine visite, il était tard, Nina n'en pouvait plus de faim et de fatigue.

Juste avant d'arriver sur la place, on a quand même fait un petit tour dans la Iglesia de la Anunciación (1565).

Une journée qui s'est terminée devant un bon plat de tapas à la Bodegas del Priorato tout près de notre hôtel. On peut y écouter et voir du flamenco mais nous n'avons fait qu'y manger. Serveuses adorables, tapas spécial Nina avec une assiette de tomates et des chips et moi j'ai adoré le gazpacho et les boulettes de viande trop trop bonnes.

A venir, jour 2 avec la Cathédrale, la Giralda, les Jardins de l'Alcazar...

Déja paru !

Nina à Séville

Dans les rues de Séville

"Violetta vient à Paris en janvier, Violetta vient à Paris en janvier !"

"Je vais la voir en vrai, elle va chanter et tout ?!!"

Depuis quelques mois, Nina me parle souvent de ses séries qu'elle adore sur Disney Channel du style "Bonne Chance Charlie", "Austin et Ally", "Les sorciers de Waverly Place", "Jessie", "Mère et fille" et "Violetta".

Avant qu'elle ne se mette à regarder Disney Channel, elle ne regardait pas trop la télé en fait, plutôt des DVD ou des choses avec nous comme Cake Boss, des émissions de cuisine ou genre The Voice.

Au début, j'avoue que je n'étais pas pour puis j'ai regardé avec elle avant de juger qu'il n'y avait rien de méchant pour une petite fille de son âge. Pendant les vacances on s'est même mis à regarder en famille "Bonne Chance Charlie" et on trouvait ça drôle. Et je reconnais de loin les chansons des génériques des séries maintenant.

Puis petit à petit les conversations se sont concentrées sur une seule série, "Violetta". "Et tu sais maman, Violetta elle est amoureuse de Tomas et Diego mais moi je préfère Diego, j'espère qu'elle va le choisir... et Violetta elle a raté son cours de chant... et sa machine en fait c'est sa tante etc etc etc... et Martina Stoessel celle qui joue Violette elle est trop belle..." tout ça avec des trémolos et une intensité telle qu'on peut la vivre quand on a 8 ans.

Violetta c'est l'histoire d'une jeune fille douée pour le chant. On la suit dans son école de musique où il y l'amitié et l'amour et dans ses relations avec son père très protecteur.

La saison 2 sera diffusée sur Disney Channel à partir du 30 septembre et il y aura une saison 3 qui devrait être la dernière.

Pour la première fois de sa vie, j'ai vu ma petite fille de tout juste 8 ans se transformer en groupie et avoir l'attitude "fan de".

Elle écoute en boucle la musique de la série sur sa Storio ou sur l'ordi et les chansons sont en espagnol puisque la série est Argentine mais ça ne la dérange pas. Souvent elle me demande "ça veut dire quoi ça maman ?" Va t'elle choisir Espagnol en seconde langue ?

Quand elle rencontre quelqu'un dans sa tranche d'âge elle demande "Tu connais Violetta ?" Elle s'e=st déjà trouvé une copine fan dans sa nouvelle école.

Quand je lui ai raconté qu'un ami journaliste avait rencontré Martina Stoessel pour l'interviewer elle a dit "Mais ça s'fait pas..." sur un ton "je suis dégoûtée de la vie car lui il l'a rencontrée et pas moi".

Quand on va dans un magasin de presse, elle checke tous les magazines pour voir si on parle de "Violetta".
Quand elle a su que Martina Stoessel était à Paris en juillet elle a voulu que le temps revienne en arrière.

Elle découpe consciensieusement les posters et photos pour faire la future déco de sa chambre. Je crains le pire !

On se dispute parfois parce qu'elle n'a pas le droit de regarder Violetta tous les jours mais uniquement les soirs où il n'y a pas école le lendemain ce qui ne fait pas beaucoup dans l'absolu et en plus on lui limite la télé pour le moment parce que l'école et les devoirs c'est ce qui compte n'est ce pas... Bref, sur ce coup là nous ne sommes pas des parents cool...

Mais, mais depuis que nous savons que "Violetta" et sa troupe arrivent à Paris début 2014, elle est folle de joie à l'idée de voir Martina chanter sur scène. Il ne faut pas que je me loupe sur l'ouverture de la billetterie le 2 octobre prochain. Car vu le nombre de fans en France ça va être chaud. J'ai découvert un monde parallèle de blogs, de comptes twitter, de sites, de forums de gamines déchainées fans de Martina Stoessel et Violetta.

Ce sera un super cadeau de Noël !

Le Violetta tour sera en concert au Grand Rex à Paris du 15 au 18 janvier 2014. Ouverture de la billeterie le 2 octobre sur Disneystore.fr et Fnac.com.

Et chez vous, la fan attitude ça donne quoi ?

Voilà quelques semaines que je passe mon temps libre à monter des meubles plus ou moins grands. Des meubles Ikéa ça fait des années que j'en monte, des bibliothèques Billy de toutes les tailles, des tours Bento, des rangements Expedit, des commodes de tous les genres et j'ai souvent réussi mon coup du premier coup.

Mais là, depuis que j'ai repris le montage après 6 ans d'arrêt, je ne sais pas ce qui se passe. Je fais un festival de conneries. J'ai toujours rattrapé le coup avec ou sans aide extérieure (tu lis mon chéri ?), les meubles ressemblent à quelque chose au final. Sérieux je ne sais pas ce qui se passe, je n'ai pas la baraka.

Derniers montages foirés en date, le bureau de Nina avec le trou pour les fils électriques qui s'est retrouvé devant, c'est à dire à l'endroit où elle est censée écrire. C'est ainsi que je me suis rendue compte que j'avais monté toute une partie à l'envers. La notice de montage propose un rangement à gauche ou à droite, j'ai mixé les deux.

Quand au dernier, il a déclenché un fou rire familial d'anthologie. Un simple rangement à chaussures à 4,99 euros. Le truc plié en 10 minutes. Ben non, moi j'ai mis 1h30 parce que j'ai réussi à le monter non pas une fois à l'envers, mais deux fois à l'envers, sans compter que j'ai perdu deux fois une vis à l'intérieur d'un tube. Oui je faisais autre chose en même temps comme regarder Teen Beach Movie avec Nina mais quand même... Pas de photo parce qu'on riait trop et qu'il était tard.

Bref, ça a été épique. C'est pourquoi je remercie vivement Ikéa de m'avoir rendu hommage et d'avoir mis ma photo dans toutes les notices de montage de meubles. Je suis une célébrité chez Ikéa, je n'en n'attendais pas moins !

Photo floue oui mais ça bouge un escargot !

Nouvelle rubrique autour du jardin, nouveauté pour moi à l'âge adulte et grande nouveauté pour Nina. Pour l'instant c'est la course, on n'a pas trop le temps d'en profiter mais dès le début Nina a rencontré des amis gastéropodes pour lesquels une grande tendresse est née.

"Oh il est trop chou, on peut dire que c'est mon escargot à moi ? Et tous les escargots qui sont dans le jardin ils peuvent être à moi ? "

Elle s'est occupée de ses escargots avec soin, une vraie mère poule. Les caresser, les nourrir, veiller à ce qu'ils ne manquent de rien. Bon il a fallu expliquer que non on ne les lave pas sous l'eau du robinet, que non ils ne vont pas s'installer dans la salle de jeux et qu'ils restent dehors.

A un moment il y avait deux escargots, un gros et un petit. Quelques heures plus tard ils avaient disparu au grand désespoir de Nina, les escargots ne restent pas forcément en place. J'ai cherché et fini par trouver le gros qui s'était déplacé en hauteur mais aucune trace du petit. Finalement, ma fille qui ne manque jamais d'idées, m'avoue qu'elle a mis le petit dans une de ses maisons de Petshop...

J'ai carrément fondu devant les attentions et les bouilles de Nina quand elle s'occupe des escargots.

Les avantages d'adopter un escargot

C'est silencieux et ça ne prend pas de place

Ça ne coûte rien en nourriture, l'herbe et les feuilles du jardin suffisent.

Ça peut occuper un enfant pendant des heures

Les inconvénients

Je n'en vois pas vraiment si ce n'est que les escargots ne restent pas en place et que l'enfant est triste au début. Mais à chaque pluie on en retrouve d'autres !

Adopter un escargot, un nouveau marché en plein essor du côté de chez nous !

Je regarde la feuille de contrôle de ma fille que je dois signer. Elle a plutôt une bonne note mais le dernier exercice m'interpelle...

Je lui demande ce qui lui a pris de mettre  "Elle" partout alors que la phrase commence par "Alexis"...

Et là, complètement de bonne foi, elle me dit "Mais voilà mon erreur maman, Alexis je croyais que c'était un prénom de fille !"

Je vous jure que jamais je ne lui ai parlé de Dynasty, qu'elle ne sait même pas que ça existe et qu'Alexis Carrington ne signifie rien pour elle !

Vous en connaissez vous des filles qui s'appellent Alexis ?

ps : j'ai quand même mis un mot à la maitresse pour lui expliquer la méprise ! Parfois nos enfants ne sont pas nuls ou bornés, ils ont juste une autre façon de voir ou de penser !

De temps en temps grâce au blog j'ai accès à des moments précieux comme cette journée du 12 octobre avec l'Association Rêves et les équipes de Disneyland. Des moments de partage et de prise de conscience de réalités difficiles mais de joie de vivre et d'espoir indestructibles.

Voilà 20 ans que l'Association Rêves se met en quatre et met tout en oeuvre pour réaliser des rêves d'enfants malades parce que pendant ce temps ils oublient la maladie pour quelques heures, quelques jours, quelques semaines, parce que cela les aide, leur donne une autre raison de se battre contre des saletés qui les abiment. Des maladies, on ne sait rien, pas de pathos et c'est tant mieux, de savoir que ces enfants n'ont pas forcément un bel avenir tout tracé est déjà triste, de les voir parfois physiquement atteints est largement suffisant et ni les familles ni les enfants ne veulent qu'on s'apitoie sur leur sort. Qu'on les fasse rêver ça oui !

Depuis 20 ans, Disneyland c'est un parc où tout le monde peut aller pour s'amuser, s'émerveiller et retrouver son âme d'enfant mais c'est aussi une équipe qu'on connait moins et qui travaille avec plus de 45 associations de l'Europe entière pour réaliser des rêves d'enfants malades ou pour donner à d'autres enfants défavorisés un moment d'exception. Rêves est l'une d'entre elle et la collaboration a eu lieu dès le début, voilà 19 ans.

Ce 12 octobre dernier, à l’occasion de la Journée Nationale des Rêves, en collaboration l’association Rêves, Disneyland à accueilli près de 250 enfants et adultes pour une journée festive dans les parcs.

Cette journée, deuxième édition en 2013, permet de sensibiliser le grand public aux actions de l'association Rêves en organisant dans toute la France des animations sportives et culturelles, animées par ses bénévoles. Près de 3 500 rêves ont été réalisés à ce jour et on espère qu'il y en aura encore des milliers grâce aux entreprises qui soutiennent le projet comme Disneyland ou grâce aux dons des particuliers.

Il faut savoir que "aller à Disneyland" est le rêve le plus demandé par les enfants. Plus de 40% le sollicitent avant de passer la journée avec une star" ou "aller voir des dauphins". Mais quelques enfants ont aussi eu droit à des rêves plus élaborés comme de "rencontrer une princesse" ou "jouer avec Flash Mc Queen ou Buzz l'éclair". Comme l'a dit Josiane Gonnot, la présidente de Rêves, personne ne refuse un voeu à un enfant malade donc tous les voeux sont réalisés. Elle se démène tous les jours avec sa petite équipe et 800 bénévoles dans toute la France.

J'ai pu échanger quelques mots avec Géraldine qui fait "le métier le plus merveilleux de Disneyland" et je veux bien la croire. Organiser les rêves d'enfants malades, près de 1000 par an, c'est quand même stimulant et ça fait du bien. J'ai d'ailleurs moi même rêvé à l'évocation de certains rêves comme celui cette petite fille qui a fait un diner avec un couple princier. Le séjour à l'hôtel peut aussi faire partie du rêve (c'est un des rêves de Nina que je n'ai pas encore pu réaliser d'ailleurs!) et la famille est associée, pas question de n'inviter que l'enfant et un parent par exemple. Et Disneyland ce n'est pas que des princesses et Mickey, la diversité des métiers fait que d'autres rêves peut y être réalisés comme passer du temps avec des pompiers ou voir de près des bisons et passer la journée avec un éleveur.

La passion je l'ai sentie aussi dans les mots de Binta, une Disney Voluntears qui a la foi, celle de partager des moments heureux avec des enfants, celle de rendre leur séjour le plus merveilleux possible et y laisser quelques samedis ou dimanches dans l'année est quelque chose à laquelle elle n'est pas prête de renconcer.

Les enfants et familles accompagnés par Rêves ont été invités à venir à une "matinée-spectacle" : ateliers ludiques, rencontre avec les personnages Disney et des personnalités proches de l’association avant de rejoindre les parcs pour profiter des festivités d’Halloween. Pour mieux en profiter ils ont été accompagnés s'ils le souhaitaient par des Disney Voluntears et ont eu des accès "fast pass" à toutes les attractions, un accès aux premières loges pour la parade...

Durant cette matinée à laquelle nous avons participé en compagnie des familles dont j'admire le courage, il y a eu des photos avec Minnie, un show de dance country avec un mini cours d'apprentissage, un concert de la belle Nungan (The Voice), des ateliers de customisation de citrouilles et de clémentines façon Halloween, des gourmandises, des jeux et surtout de la bonne humeur.

Nina a passé son temps à dessiner sur les clémentines et à danser et j'ai tenté plusieurs fois de retenir mes émotions, tous ces enfants heureux, souriants, pfiouu ça m'a donné des frissons.

Pensées spéciales pour Eléa, sa maman et sa grand-mère...

Si ça vous tente d'aider un enfant à réaliser, n'hésitez pas à faire un don.

Merci à toute l'éuipe de Disneyland, ses ambassadeurs, ses faiseurs de rêves, ses volontaires pour leur accueil, leur chaleur et leur passion.

On vient de rentrer d'une semaine de vacances au Club Med de Djerba la Douce, une semaine inespérée, un cadeau tombé du ciel, mérité dixit mes amis !

Une invitation à découvrir et tester le Club Med en famille tombée pile pendant ma semaine de vacances, une chance !

Je suis déjà allée à Djerba il y a 20 ans dans une autre vie et de l'autre côté de l'île. J'en garde un beau souvenir diffus, tant d'eau a coulé sous les ponts depuis.

Avant de revenir plus en détails sur mes impressions et sur celles de Nina qui a passé une semaine au "paradis" tout simplement, voici quelques photos prises à l'intérieur du Club. J'ai flashé sur les innombrables palmiers dattiers aux fruits mûrs et qu'on pouvait déguster directement mais aussi sur les fleurs. Mais comment faire pour avoir des bougainvilliers dans mon jardin ? Il paraît que je rêve !

C'était l'été à Djerba, un supplément de douceur et de chaleur dont j'avais un grand besoin...

Le palmier dromadaire himself !

Nina voulait qu'on le ramène...

Dromadaire sur la plage à Djerba

Un chat qui joue à chat perché

Chevaux sur la plage à Djerba

Décor Club Med Djerba

Coucher de soleil, vue du train en Seine et Marne

Palmier double, je l'adore, Djerba

Vol d'oiseaux saisi à la volée

Pizzeria Kid's friendly à Fontainebleau

Sur le stand Skylanders Swap Force à la Paris Games Week

Sur le stand Disney Infinity à la Paris Games Week

Belle carrosserie, meeting de voitures anciennes dans le 77

Soirée loto au village, une première !

Bar à mousses au Salon du Chocolat, torture...

Clap de fin ! 

Parfois j'annonce des films pour une date puis les aléas des distributions et des sorties font que ça change peu de temps avant. C'est pourquoi on retrouve des films de l'article précédent septembre-octobre dans celui-ci.

Beaucoup de films à voir en famille ces deux prochains mois et c'est Albator que j'attends avec le plus d'impatience avec Belle et Sébastien (c'est toute mon enfance qui arrive au cinéma ) ! Bons films !

Les Petits Canards en papier de Yu Zhefuang / Sortie le 6 novembre / A partir de 3 ans

"Un programme de 3 courts métrages d’animation des Studios Shanghai réalisés par Yu Zheguang.

Les canards et le chat : trois petits canards rusés partent à la chasse aux papillons. En chemin ils réveillent le gros chat !
Le vilain petit canard : un petit canard pas comme les autres va semer la zizanie dans sa mare paisible.
Un gros chou : Chat et Lapin aiment bien jouer dans le potager mais parfois ils font des bêtises !"

Il était une forêt de Luc Jacquet / Sortie le 13 novembre / A partir de 5-6 ans

"Pour la première fois, une forêt tropicale va naître sous nos yeux. De la première pousse à l'épanouissement des arbres géants, de la canopée en passant par le développement des liens cachés entre plantes et animaux, ce ne sont pas moins de sept siècles qui vont s'écouler sous nos yeux.

Depuis des années, Luc Jacquet filme la nature, pour émouvoir et émerveiller les spectateurs à travers des histoires uniques et passionnantes. Sa rencontre avec le botaniste Francis Hallé a donné naissance à ce film patrimonial sur les ultimes grandes forêts primaires des tropiques, au confluent de la transmission, de la poésie et de la magie visuelle."

Les images sont sublimes, j'ai bien envie de me promener dans cette forêt.

Par le réalisateur de la Marche de l'Empereur, on s'attend donc à du très haut niveau documentaire.

L'apprenti Père Noël et le flocon magique de Luc Vinciguerra /  Sortie le 20 novembre / A partir de 4 ans

"Cette fois, c’est officiel : Nicolas est le nouveau père Noël. Sacrée responsabilité pour un petit garçon de 7 ans ! Mais à deux jours de sa première tournée, Nicolas doit faire face à une terrible crise : Aux quatre coins du monde, la magie de Noël est en train de disparaitre, et c’est lui qui en est la cause ! Car Nicolas a contracté la maladie des enfants qui veulent grandir trop vite : La grande-Personnelose ! Le conseil des anciens pères Noël est contraint de le démettre de ses fonctions de toute urgence. Pour regagner sa place et sauver Noël, Nicolas va devoir retrouver l’innocence, la fraîcheur et l’insouciance de son enfance. Heureusement, "L’esprit de Noël" veille sur le petit garçon et place sur son chemin un calendrier magique ! C’est, pour Nicolas, le début d’un voyage plein de surprises au travers des 24 portes du calendrier."

Une production frenchy dont nous avons beaucoup aimé le premier volet.

Torben et Sylvia de Anders Morgenthaler / Sortie le 20 novembre / A partir de 6 ans 

"Torben ne désire qu’une chose dans la vie : être la plus belle des pommes, aussi rouge et ronde que celles que l’on trouve dans les grandes surfaces. Son destin est d’ailleurs tracé : il finira dans un rayon de supermarché, au rayon fruits et légumes !

Mais son rêve va s’envoler alors qu’il attrape un charmant ver, prénommé Sylvia, qui est bien décidé à devenir ami avec lui. Mais notre pomme ne l’entend pas de cette feuille : commence alors un long périple à travers jardins et potagers, rempli de savoureuses aventures…"

Spike 1 et 2 de Eric Tosti, David Alaux / Sortie le 20 novembre / A partir de 3 ans

Programme de courts métrages d'animation : Spike et Spike 2.

"Spike - Jeune recrue de l'atelier du Père Noël, le lutin Spike se porte volontaire pour une mission de la plus haute importance : aller récupérer le sac contenant toutes les lettres que les enfants ont adressées au Père Noël. Malheureusement, Spike va égarer le précieux courrier qui se retrouvera enfermé dans la banque de Ping Ville, la ville des pingouins. Avec l'aide de Raymond, un vieux lutin expérimenté, il décide de s'introduire dans le bâtiment pour récupérer le sac et sauver Noël. Mais Tony et Vito, deux ours polaires cambrioleurs, ont prévu de dévaliser la banque ce jour-là.

Spike 2 - Les rennes volants viennent de se faire enlever, Noël est en danger ! Spike le lutin, sa cousine Dorothée, et leur ami Paco, vont devoir affronter de multiples épreuves pour contrer les plans machiavéliques de Tony, l’ours polaire, et sauver Noël !"

La sorcière dans les airs de Max Lang, Jan Lachauer /  Sortie le 27 novembre / A partir de 3 ans

"Une sympathique sorcière, son chat et son chaudron s'envolent sur un balai. Quel bonheur de voler ! Mais le vent se met à souffler très fort, et un dragon affamé vient de se réveiller..."

Une nouvelle adaptation d'un album de Julia Donaldson et Axel Scheffler, les auteurs favoris de la littérature jeunesse.

Par les créateurs du Gruffalo.

Amazonia de Thierry Ragobert / Sortie le 27 novembre / A partir de 5 ans

"À la suite d'un accident d’avion, un jeune singe capucin né en captivité se retrouve brutalement seul et désemparé au cœur de la forêt amazonienne. Il va devoir apprendre à se protéger de la férocité implacable d’une nature toute puissante. Sans repères et confronté aux mille et un périls de l'immensité verte, il lui faudra s’adapter à cet univers inconnu, grouillant, foisonnant, souvent merveilleux mais aussi étrange et hostile.
Héros d'une extraordinaire aventure qui lui fera affronter non seulement ses semblables mais aussi des prédateurs redoutables, des végétaux toxiques et l'Amazone en crue, il va entamer un long voyage qui lui permettra de découvrir enfin sa seule chance de survie : une place parmi les siens…"

Documentaire fiction pour toute la famille, une façon de découvrir l'Amazonie comme on ne l'a jamais vue. Les images ici sont sublimes.

Bon plan ! Avant première gratuite le 17 novembre à Paris pour les enseignants et leurs enfants sur inscription ici.

Tom le cancre de Manuel Pradal / Sortie le 27 novembre / A partir de 7 ans ?

"Des enfants de 5 ans s’égarent dans la forêt après que leur maîtresse se soit évanouie en mangeant un fruit sauvage. Ils rencontrent alors un enfant fugueur de 14 ans, Tom le cancre, qui vit dans un chêne centenaire et qui leur propose un marché : il les ramènera à leurs parents quand il leur aura désappris tout ce qu’ils ont appris à l’école. Une classe verte dirigée par un maître cancre ou comment ré-enchanter le monde par la fantaisie et l’impertinence."

Un film d'aventure avec des enfants de 5 ans, c'est pas banal ! La bande annonce nous a donné très envie de les suivre !

La Reine des Neiges de Chris Buck et Jennifer Lee / Sortie le 4 décembre / A partir de 5 ans

"Anna, une jeune fille aussi audacieuse qu'optimiste, se lance dans un incroyable voyage en compagnie de Kristoff, un montagnard expérimenté, et de son fidèle renne, Sven à la recherche de sa sœur, Elsa, la Reine des Neiges qui a plongé le royaume d'Arendelle dans un hiver éternel... En chemin, ils vont rencontrer de mystérieux trolls et un drôle de bonhomme de neige nommé Olaf, braver les conditions extrêmes des sommets escarpés et glacés, et affronter la magie qui les guette à chaque pas... Anna et Kristoff vont devoir rivaliser de courage et d'inventivité pour survivre et sauver le royaume du chaos.."

Une adaptation du célèbre conte d'Andersen par les créateurs de Raiponce. Les premières images que j'ai vues laissent augurer d'une belle histoire comme Disney sait les raconter.

L'Enfant Lion de Patrick Grandperret / Sortie le 4 décembre / A partir de 3 ans

"Deux enfants africains, Oulé et son amie Léna, sont vendus comme esclaves à un puissant seigneur des hautes terres. Léna raconte...

Au village de Pama, sur les terres de Baoulé, hommes et lions vivaient en paix, les premiers sous la protection des seconds. Le même jour, naquirent Oulé, fils du chef Moko Kaouro, et Sirga, fille de Ouara la reine des lions. La brousse décida qu'ils seraient frère et soeur..."

Reprise d'un très beau film sorti en 1993.

"Sélection de six films produits par le studio britannique Halas & Batchelor. Dans des styles musicaux variés, les univers fantaisistes s’enchaînent. Trois concertistes d’un grand hôtel traversent différentes catastrophes sans jamais s’interrompre. Un éléphant trompettiste devient un extraordinaire baby-sitter. Le troisième court métrage est une histoire d’amour poétique tandis que les deux suivants évoquent en musique et sur un ton satirique le monde de la consommation et celui du cinéma. Le tout s’achève par une promenade pastorale rythmée par le chant d’une grenouille rockeuse."

Le secret de l'Etoile du Nord de Nils Gaup / Sortie le 11 décembre / A partir de 7 ans ?

"Pour rompre la malédiction qui a privé le Roi de sa fille bien aimée, Sonia, une jeune orpheline, part en quête de l'Etoile du Nord, l'astre qui veille sur Noël. Commence alors pour elle un fabuleux voyage.."

Dans la lignée des films comme Le Monde de Narnia, L'histoire sans fin, Le secret de Moonacre...

Le Père Frimas de Youri Tcherenkov / Sortie le 11 décembre / A partir de 3 ans

"Le père Frimas précédé du court métrage Le Noël de Komaneko.

Le Noël de Komaneko de Tsuneo Goda
La neige recouvre le pré autour de la maison de Grand-papa. Le sapin clignote auprès de la cheminée. Tout est prêt pour fêter Noël ! Mais les parents de Koma ne viendront pas comme il était prévu.
Devant le désespoir de son amie, Radi-bo décide de construire un véhicule pour qu’elle puisse les rejoindre. C’est alors qu’une panne les immobilise en pleine forêt..

Le Père Frimas de Youri Tcherenkov
Au sommet des Alpes, vit le Père Frimas, un merveilleux personnage aux pouvoirs enchanteurs. Chaque hiver, il veille à ce que la neige recouvre bien toute la forêt. Mais cette année, rien ne se passe comme prévu. Sylvain, l’esprit de la forêt, sort brusquement de son hibernation affamé et grognon …"

Sur la terre des Dinosaures de Neil Nightengale, Pierre De Lespinois /  Sortie le 18 décembre / A partir de 6 ans

"Située il y a 70 millions d'années, au temps où les dinosaures régnaient en maitres sur terre, notre histoire suit les aventures de Patchi, le dernier né de sa famille. Sur le long chemin qui le mènera vers l’âge adulte, il devra survivre dans un monde sauvage et imprévisible, et faire face aux plus dangereux prédateurs.
Quand son père est tué, le jeune Patchi, son grand frère Scowler, et son amie Juniper sont séparés du reste de la horde pendant la grande migration. Désormais à la recherche des siens, le  trio va devoir surmonter de nombreux obstacles, et vivre une aventure palpitante au cours de laquelle Patchi va révéler son immense courage."

Belle et Sébastien de Nicolas Vanier / Sortie le 18 décembre / A partir de 7-8 ans ?

"Ça se passe là-haut, dans les Alpes. Ça se passe là où la neige est immaculée, là où les chamois coursent les marmottes, là où les sommets tutoient les nuages. Ça se passe dans un village paisible jusqu'à l'arrivée des Allemands. C'est la rencontre d'un enfant solitaire et d'un chien sauvage. C'est l'histoire de Sébastien qui apprivoise Belle. C'est l'aventure d'une amitié indéfectible. C'est le récit extraordinaire d'un enfant débrouillard et attendrissant au coeur de la Seconde Guerre Mondiale.  C'est l'odyssée d'un petit garçon à la recherche de sa mère, d'un vieil homme à la recherche de son passé, d'un résistant à la recherche de l'amour, d'une jeune femme en quête d'aventures, d'un lieutenant allemand à la recherche du pardon.  C'est la vie de Belle et Sébastien."

La série télé de mon enfance, j'ai les larmes aux yeux rien que d'entendre la chanson du générique... J'adore l'histoire de Belle et Sébastien, une série qui m'a marquée.

Loulou, l'incroyable secret de Grégoire Solotareff, Éric Omond / Sortie le 18 décembre / A partir de 3 ans

"Loulou est un loup. Tom est un lapin. Etonnamment, Loulou et Tom sont inséparables depuis leur tendre enfance.
Aujourd’hui adolescents, ils se la coulent douce au Pays des Lapins. Mais Loulou qui se croyait orphelin apprend d’une bohémienne que sa mère est vivante. Les deux amis partent alors à sa recherche dans la principauté de Wolfenberg, le Pays des Loups. Ils arrivent en plein Festival de Carne, rendez-vous annuel des plus grands carnassiers du monde. L’amitié de Loulou et Tom survivra-t-elle dans ce pays où les herbivores finissent esclaves ou au menu du jour ?
Quel incroyable secret entoure la naissance de Loulou ?"

Qui ne connait pas encore l'univers de Grégoire Solotareff ? Succès garanti auprès des petits !

Le manoir magique de Ben Stassen, Jérémie Degruson / Sortie le 25 décembre 2013 / A partir de 3-4 ans

"Tonnerre, un jeune chat, a été abandonné par sa famille. Seul et perdu il trouve refuge dans un mystérieux manoir appartenant à Lorenz, un magicien retraité. Très vite, Tonnerre se sent comme chez lui dans cette maison enchantée, remplie de petits personnages aussi étranges qu'amusants.... Mais lorsque son hôte, Lorenz est envoyé à l'hôpital, son neveu essaie par tous les moyens de vendre la maison sans que son oncle ne s'en aperçoive. C'est alors que Tonnerre a une idée des plus surprenantes : transformer leur manoir en maison hantée ! La résistance s'organise avec l'aide de ses petits compagnons."

Par le réalisateur des aventures de Samy la tortue ! Regardez la bande annonce, vous allez craquer pour le chat !

Albator, Corsaire de l'espace de Shinji Aramaki / Sortie le 25 décembre 2013 / A partir de 8 ans

"2977. Albator, capitaine du vaisseau Arcadia, est un corsaire de l’espace. Il est condamné à mort, mais reste insaisissable.
Le jeune Logan, envoyé pour l’assassiner, s’infiltre dans l’Arcadia, alors qu’Albator décide d’entrer en guerre contre la Coalition GAIA afin de défendre sa planète d’origine, la Terre."

De toutes les sorties de ces deux mois, c'est LE film que j'attends ! Encore plus que La reine des neiges... Albator mon amour de jeunesse quoi... J'ai tellement aimé la série animée, le personnage d'Albator, l'atmosphère romantique et mystérieuse, j'espère que le film sera à la hauteur.

"Albator, Albator Du fond de la nuit d'or. Albator, Albator De bâbord à tribord. Tu veilles sur la galaxie. Sur la liberté aussi..."

Ha ha ! Vous vous demandez bien qui est ce Nolim entre Maxime Chattam et moi n'est ce pas ?

J'adore lire et je lis dès que je peux même si je ne fais pas de critiques sur le blog. Par contre je fais souvent tourner sur Twitter les livres que je ne compte pas garder. Et un de mes genres littéraires préférés depuis toujours, c'est le polar. J'y avais fait allusion ici avec une liste de polars écrits par des femmes.

J'ai donc répondu présente à l'appel de Carrefour qui me conviait à un déjeuner surprise avec Maxime Chattam.

J'ai pu échanger quelques mots avec Maxime Chattam a qui j'ai demandé comment il faisait pour vivre normalement en écrivant des horreurs pareilles ! Il m'a répondu sans me répondre "C'est exactement ce que se demande ma femme !" J'étais ravie de savoir que parmi ses romans préférés du genre il y a "Nécropolis" de Herbert Lieberman et "Le maitre des illusions" de Donna Tartt, deux chefs d'oeuvre que je vous conseille de lire si ce n'est déjà fait. Et qu'un de ses auteurs préférés est Dennis Lehane que j'adore.

Transition parfaite car on peut retrouver tous les livres de Dennis Lehane sur Nolim, le nouveau bébé de Carrefour auquel s'est associé Maxime Chattam. Carrefour qui offre déjà plus de 13000 références de livres dans ses magasins a souhaité développé un concept global autour du livre numérique et faciliter l'accès à la littérature pour tous.

Un espace dédié en magasin, une plateforme de téléchargement avec plus de 100 000 livres et surtout la liseuse "Nolim" que j'ai eu la chance de me faire offrir pour la tester.

Je l'utilise maintenant depuis trois semaines et je suis vraiment conquise par le produit dont le prix est le plus bas du marché il me semble. Je ne peux vous faire aucun comparatif car c'est la toute première fois que je me sers d'une liseuse et que bien entendu j'avais crié haut et fort "une liseuse numérique, moi ? Jamais ! Le livre papier c'est sacré !"

Nolim est d'une simplicité enfantine à utiliser et le premier avantage que j'y vois c'est qu'elle est toujours dans mon sac parce qu'elle est tellement légère (190 g) que je l'emporte partout avec son format livre de poche en beaucoup plus fin (9,4mm).

Elle est livrée avec 100 livres et possède assez d'espace mémoire pour garder 4000 livres grâce à sa mémoire interne de 4 Go extensible jusqu’à 32 Go à l’aide d’une carte MicroSD.

Sa technologie d’encre numérique ePaper permet de lire, comme sur un livre classique, sans fatiguer les yeux (mais elle ne fait pas de miracle, faut pas exagérer j'ai quand même besoin de mes lunettes !). L'écran est tactile mais je préfère tourner les pages en appuyant sur les boutons latéraux.

Le bouton central permet d'accéder au Menu principal où l'on retrouve le livre en cours de lecture, la bibliothèque, l'accès au Nolimstore via le wifi intégré.

Je ne m'en suis pas servie tous les jours mais en lisant de temps en temps et en "jouant" un peu avec pour la connaître mieux, je n'ai usé que 20% de batterie en trois semaines. Même en restant tout le temps en veille, elle consomme très peu. Son autonomie est de plusieurs semaines.

Parmi ses autres fonctions, le dictionnaire intégré Nouveau Littré inclus (© Édition Garnier, 2011), augmentation de la taille du texte, prise de notes, marque-pages... Et en cas de doute, il y a un manuel d'utilisation intégré très bien fait.

La Nolim Book existe en deux versions dont une avec un écran éclairé Frontlight pour lire dans le noir ou dans la pénombre voire même en plein soleil.

Je n'ai pas encore passé le stade d'achat de livre payant parce que j'ai une pile énorme à lire mais dès que j'en viens à bout, je vais regarder de plus près la liste téléchargeable sur le Nolimstore. Par contre j'ai pris des livres gratuits et je me replonge avec délice dans un classique comme "Bel Ami" de Guy de Maupassant. J'ai aussi pris "Les contes d'Andersen" pour Nina.

Lors de la rencontre avec l'équipe de Carrefour j'ai appris que ce sont les éditeurs qui fixent les prix des livres et que le distributeur n'a pas vraiment son mot à dire ce qui explique les prix élevés des livres numériques et pourtant on ne paye pas le papier...

Et cerise sur le gâteau, pour accompagner la sortie de Nolim, Carrefour lance un concours de nouvelles parrainé par Maxime Chattam qui sera président du jury. Pour l'occasion, l'écrivain a créé avec Carrefour un site spécial "Je deviens ecrivain" dans lequel il donne des conseils en vidéo. Vous avez jusqu'au 24 novembre pour déposer une nouvelle et pas forcément dans le domaine du polar ! Avec un premier roman édité à la clé !

Infos pratiques

Nolim classique : 69,90€

Nolim+ Frontlight : 99,90€

Nolimstore by Carrefour, la libraire en ligne

Un comparatif des deux liseuses Nolim à lire ici

Nolim est compatible avec les tablettes et smartphones grâce à l'appli Nolim

A priori on pourrait se dire que les deux sujets dans mon titre n'ont rien en commun et pourtant !

Depuis que l'on habite une maison un peu loin de Paris tout en travaillant toujours à Paris, il a fallu mettre au point une organisation pour notre fille. Elle a donc deux nounous les jours où je travaille, une le matin et une le soir.

Tout se passe vraiment bien et je suis en permanence à l'affût de bonnes idées pour que notre organisation reste au top.

Avant d'être invitée à découvrir les produits de la société Masterlock je ne connaissais pas la marque qui pourtant a inventé un antivol génial pour les poussettes (n'ayez pas peur du mot "menottes"). Pourtant j'ai dû utiliser leurs cadenas plusieurs fois mais sans y prêter attention.

Mais là leur dernière invention de la gamme Select Access a fait tilt ! Tout à fait pour moi, il fallait y penser, c'est super intelligent.

Pas très sexy ce boitier en métal ? Pas sexy mais grave ingénieux. Qui n'a jamais oublié ses clefs et s'est retrouvé à la porte (je plaide plusieurs fois coupable !), qui n'a jamais eu besoin de clefs supplémentaires mais a hésité au vu du coup pour en refaire certaines ? Qui n'a jamais mis ses clefs sous le paillasson ou le pot de fleurs comme dans les films ?

Mastelorck a pensé à nous avec un mini coffre à clefs ultra résistant.

On installe le boitier à l'extérieur de la maison, caché ou non, on y range un trousseau de clefs et on donne le code à qui de droit. Le tour est joué, plus jamais peur de se retrouver à la porte, plus besoin d'avoir dix trousseaux qui se baladent dans la nature.

Et les nounous ont le code et ne se prennent plus la tête avec les clefs !

Et avoir un "gardien des clefs" ça fait un peu film d'héroic fantasy non ?

Nounous qu'on chouchoute comme on peut parce dans un petit village, on est bien contents de trouver non pas une perle, mais deux !

Tout le monde a sa fête, les mères, les pères, les grands-mères, les secrétaires, les célibataires, les amoureux... et pourquoi pas les nounous qui prennent si bien soin de nos enfants.

Le 19 novembre prochain c'est la journée nationale des nounous et Kinder Délice m'a envoyé un joli coffret créatif pour que Nina fasse un petit mot pour ses nounous.

Kinder Délice a choisit de rendre hommage aux nounous autour de 3 temps forts qui permettront aux enfants et à leurs parents de les remercier.

- Les enfants et leurs parents peuvent dire  "Merci à ma Nounou !" sur le site www.kinderdelice.fr en composant un message créatif et affectueux qui sera envoyé par e-mail le jour J à leur nounou.

- un jeu-concours est organisé. Des cadeaux comme un week-end en famille dans un parc d'attractions, une année de goûters Kinder Délice ou encore des coffrets comme celui que j'ai reçu sont à gagner.

Et c'est un jury qui sélectionne donc pas d'appels au vote et cie, chacun à sa chance ! C'est jusqu'au 10 novembre.

- Des événements spéciaux à Paris, Lille et Lyon

Vive les nounous qui s'occupent si bien de la prunelle de nos yeux !

Et pour que vos enfants puissent aussi fêter leurs nounous, j'ai deux coffrets Kinder Délice à offrir.

Pour jouer, merci de me dire en commentaire si vous jouez et quel est le rapport de vos enfants à leur nounou, baby sitter où à la personne qui fait office de nounou !

Jeu ouvert jusqu'au 11 novembre 20h. Tirage au sort dans la foulée. Envoi en France métropolitaine uniquement.

Edit : Kinder Délice offre un troisième coffret ! Je choisirai parmi les messages celui qui m'aura le plus touchée...

Même pas une journée et déjà l'impression de connaître la ville. La deuxième journée fut consacrée aux "best of" de Séville qui se concentrent dans le même quartier.

Je ne m'attendais pas à ce que la Cathédrale soit si belle à l'intérieur. Elle est bien entendu immense et possède de nombreux recoins et salles à explorer sans compter la cour intérieure. J'ai beau être en dehors des croyances liées à l'Eglise, je suis scotchée par tant de beauté et rien d'étonnant à ce que les gens aiment se recueillir et prier dans de si beaux endroits.

Accolée à la Cathédrale, la tour de la Giralda est le dernier vestige de la Mosquée de Séville du temps où les Arabes régnaient en maîtres sur la région. Aujourd'hui c'est le clocher de la Cathédrale.

Avec Nina on a adoré faire la montée tellement bien pensée. Pas d'escaliers mais des montées par des rampes en pente douce. Certes il y 34 niveaux plus des escaliers mais comparé à la montée des marches de Notre Dame c'était plus facile. La montée est superbe, on a envie de s'arrêter à chaque palier pour déjà admirer la vue. Idem en descente !

On a ri d'ailleurs dans la descente quand on croisait des touristes qui peinaient au cinquième niveau, Nina n'était pas tendre "Ah ben s'ils se plaignent déjà là, ils ne sont pas arrivés !"

Et là haut, vue sur toute la ville à 180° sans compter l'agréable petit vent qui tombe à pic après la montée. Bouteille d'eau obligatoire comme partout d'ailleurs à Séville au mois d'août !

En sortant, on se retrouve nez à nez avec les jardins de l'Alcazar. Là j'avoue que Nina était moyen motivée mais je trouvais trop bête de devoir revenir alors qu'on y était et j'ai réussi à la convaincre. Après une pause repas et repos à la cafét de l'Alcazar elle avait retrouvé la patate.

Une jolie balade dans la verdure, l'architecture, les azulejos.

Des rencontres insolites...

Et un endroit magique où il fait bon rester à la fraiche, les "Bains de Doña Maria de Padilla" qui sont des réservoirs d’eau de pluie.

Il faudrait y retourner le soir quand il y a des concerts pour profiter des jardins quand il fait moins chaud, encore une bonne raison de revenir à Séville.

Après la pause hôtel et piscine bien méritée, nous voilà reparties vers le quartier de la Cathédrale. Je voulais qu'on se balade un peu plus dans les rues du quartier de Santa Cruz mais toute la journée et même depuis la veille Nina rêvait d'une promenade en calèche.

A 45€ le tour (on peut monter à quatre), j'avais refusé plusieurs fois et ce soir là j'ai réussi à négocier un prix plus bas. Nina était aux anges et la voir aussi heureuse fut ma récompense. Il faut dire que quasi toutes les visites que nous avons faites étaient gratuites pour elle, le prix de la balade n'a pas trop grevé le budget.

C'était un beau moment au soleil couchant entre mère et fille, une visite insolite de Séville, passage obligé pour beaucoup de touristes mais sans Nina je ne l'aurais pas faite.

Séville Jour 1

Les gens meurent, c'est dans l'ordre des choses, les gens qu'on aime meurent c'est aussi malheureusement dans l'ordre des choses.

Je ne crois pas aux fantômes, aux esprits et ce genre de choses, enfin je ne pense pas, mais je crois qu'une personne que l'on aime ne nous quitte jamais. On fait notre deuil le temps qu'il faut, on continue à vivre et à aimer la vie aussi dure puisse t'elle être mais un disparu que l'on a vraiment aimé ne l'est jamais à tout jamais.

Ma grand-mère ne m'a jamais quittée. J'ai relu ce billet que j'ai écrit il y a deux ans "Elle aurait eu 91 ans" où je disais qu'elle m'accompagne toujours. 

C'est le sentiment que j'ai depuis qu'elle est morte il y 13 ans. Peut-être est-ce le résultat de notre relation très forte, peut-être est-ce normal avec quelqu'un qu'on a aimé de tout son coeur.

Je sens sa présence bienveillante sur moi, sur nous. Je pense souvent à elle évidemment et je vois son visage et son sourire si rayonnant, je repense à sa douceur.

Dans mon héritage de famille je garde depuis toujours ce portrait d'elle quand elle était toute jeune enfant. Une petite fille d'origine slave, une photo d'époque rare et précieuse toujours dans son cadre d'origine qui a quasiment 90 ans.

Alors c'est peut être naïf mais je garde ce portrait et je l'accroche dans chacune de mes demeures parce que j'ai le sentiment qu'elle vit à travers lui. Pas une autre photo, non, ce portrait là.

Il a trouvé sa place dans notre maison, tout naturellement. Dans l'escalier qui monte à la chambre de Nina, elle fait le lien entre elle et nous. Elle fait partie de notre famille.

Elle veille sur nous...

Un week-end de trois jours et on se dit qu'est ce pourrait bien faire d'extraordinaire ? Rien en fait mais avec le recul les journées ordinaires peuvent nous paraître extraordinaires...

Se laisser bercer par le temps qui s'écoule lentement...

Recevoir les voisins autour d'un café gourmand, discuter culture, se découvrir des points communs.

Regarder le paysage toujours aussi beau, s'enthousiasmer des couleurs de l'automne du jardin, s'enthousiasmer des couleurs de l'automne de la forêt...

Continuer d'aménager la maison. Le maître mot de ce week-end fut lumière. Changer les spots abimés, mettre des appliques sur les ampoules nues, faire des essais, se féliciter et tout ça à trois. Deux grands qui bossent, une petite qui éclaire à la lampe torche et qui passe les outils...

Jouer aux écureuils et faire marche le casse-noisettes...

Réflechir à tout ce que l'on pourrait faire, des projets pour les week-ends suivants...

Faire des devoirs tous les jours mais avec modération et sans s'énerver... Lui demander d'écrire des phrases et se retrouver le coeur ému...

Se scotcher devant la rediffusion de Nouvelle Star qu'on a loupé jeudi...

Mettre le nez dehors et rentrer direct car il fait froid, ne pas se forcer à sortir...

Improviser un goûter crèpes...

Faire découvrir Gremlins à la Gremlin de la maison et entendre ses cris de frayeur exagérés...

Jouer à se faire peur en se laissant tomber en arrière pour que maman rattrape le petit corps qui lui fait une totale confiance...

Dessiner son Skylanders préféré...

Ranger un peu, faire des lessives...

Se laisser émerveiller par une robe à paillettes qui brille au soleil...

Rigoler aux facéties d'une lutine et se faire des miliers de câlins...

Je les aime nos journées ordinaires, elles sont extraordinaires à plus d'un titre...

Gravity d'Alfonso Cuarón

"Pour sa première expédition à bord d'une navette spatiale, le docteur Ryan Stone, brillante experte en ingénierie médicale, accompagne l'astronaute chevronné Matt Kowalsky. Mais alors qu'il s'agit apparemment d'une banale sortie dans l'espace, une catastrophe se produit. Lorsque la navette est pulvérisée, Stone et Kowalsky se retrouvent totalement seuls, livrés à eux-mêmes dans l'univers et vont tout tenter pour rentrer sur terre..."

Filmer un huit clos étouffant dans l'espace il fallait le faire ! Malgré l'immensité infinie de l'espace Alfonso Cuaron a réussi à créer un climat incroyable de proximité avec ses personnages.

C'est superbement filmé, un véritable ballet aérien, des scènes démentes de chaos destructeur et l'image éternelle de la terre vue des étoiles.

Le suspense est haletant tout comme l'est la respiration dans les casques quand le coeur palpite à 200 à l'heure.

C'est un film sur le sens de la vie et de la mort, l'histoire d'une naissance, d'une renaissance. Ce magnifique plan de Sandra Bullock en position foetale dans la capsule est d'une symbolisme puissant. C'est une histoire de survie, une histoire universelle finalement...

Je n'ai pas envie d'en raconter plus mais j'ai adoré être dans cet espace comme on ne l'avait encore jamais vu au cinéma...

Par contre, je crois que je n'arriverai jamais à me faire à ces lunettes 3D dont je sens physiquement la présence sur mon nez et mon visage, toujours ce filtre entre moi et le film qui m'empêche d'être à 100% dedans. Sans parler des couleurs ternes...

J'aime l'effet 3D mais pas les lunettes...

9 mois ferme d'Albert Dupontel

"Ariane Felder est enceinte ! C'est d'autant plus surprenant que c'est une jeune juge aux mœurs strictes et une célibataire endurcie. Mais ce qui est encore plus surprenant, c'est que d'après les tests de paternité, le père de l'enfant n'est autre que Bob, un criminel poursuivi pour une atroce agression ! Ariane, qui ne se souvient de rien, tente alors de comprendre ce qui a bien pu se passer et ce qui l'attend..."

Hilarant, pas du tout politiquement correct comme j'aime. Albert Dupontel est en grande forme et il en profite pour égratigner le milieu de la justice et de la police tout en délivrant une belle réflexion sur la maternité.

J'ai beaucoup ri mais pas uniquement. L'émotion m'a gagnée aussi, cette rencontre entre deux écorchés m'a touchée, leurs échanges de regards et la compassion qui s'en dégage est bouleversante.

Sandrine Kiberlain décidément vraiment excellente dans les rôles comiques traverse le film avec un naturel déconcertant. Un film original du début à la fin qui fait du bien !

Un Château en Italie de Valeria Bruni Tedeschi

"Louise rencontre Nathan, ses rêves ressurgissent. C’est aussi l’histoire de son frère malade et de leur mère, d’un destin : celui d’une grande famille de la bourgeoisie industrielle italienne. L’histoire d’une famille qui se désagrège, d’un monde qui se termine et d’un amour qui commence."

De grandes scènes comiques et un sens de la dérision que Valeria Bruni Tedeschi sait utiliser.

Tout y passe, réflexions sur le métier d'acteur, la richesse, la religion... et tout le monde en prend pour son grade.

C'est un film autobiographique mais dans un espace temps qui ne l'est pas, l'histoire d'amour avec Louis Garrel prend une autre dimension et on se demande où est la soeur, d'autant plus que la mère qui joue son propre rôle lui ressemble comme deux gouttes d'eau.

Ils sont parfois agaçants ces aristocrates déchus, ces enfants gâtés hystériques qu'on a envie de remettre dans la réalité et de calmer. Je me suis néanmoins posée la question sur ces rapports limites incestueux entre frère et soeur.

Un film barré mais attachant sur une famille un peu barrée mais attachante.

Quai d'Orsay de Bertrand Tavernier

"Le jeune Arthur Vlaminck, jeune diplômé de l’ENA, est embauché en tant que chargé du “langage” au ministère des Affaires Étrangères. En clair, il doit écrire les discours du ministre ! Mais encore faut-il apprendre à composer avec la susceptibilité et l’entourage du prince, se faire une place entre le directeur de cabinet et les conseillers qui gravitent dans un Quai d’Orsay où le stress, l’ambition et les coups fourrés ne sont pas rares..."

Le film est adapté de la bande dessinée du même nom de Christophe Blain et Abel Lanzac dont le personnage du ministre est inspiré par Dominique de Villepin. Je n'ai pas lu la BD, je ne vais donc pas comparer ou critiquer mais juste parler du film.

J'ai passé un très bon moment, c'est drôle et la mise en scène au couteau de Bertrand Tavernier fait mouche.

Cette immersion dans un ministère est intéressante et passionnante à plus d'un titre. On imagine bien le nombre incalculable d'employés, de conseillers, de chargés de mission occultes dont on se demande s'ils servent tous à quelque chose, les relations de pouvoir qui s'instaurent à tous les étages et surtout l'importance du langage et des discours.

Le film est un festival de vocabulaire et le temps passé à produire un discours peut faire peur mais le moindre de mot de travers peut mener à une crise diplomatique.

Au début on se demande à quoi sert le ministre, on frise la caricature mais au final le personnage se révèle un fin stratège qui paye de sa personne pour défendre les cause auxquelles il croit.

Après avoir vu le film, vous ne regarderez plus vos Stabilo du même oeil !

Je ne fais plus trop de tags, j'ai eu une période au début, genre il y a 7 ans avec de beaux questionnaires qui faisaient le tour de la blogo tous domaines confondus (nostalgie, nostalgie...) et on appelait ça "une chaine" !

Mais quand c'est Madame qui me taggue je ne peux refuser car je ne la connais que virtuellement mais nous avons beaucoup de points communs notamment culturels.

Elle m'a posé 11 questions...

1- Ta plus grande réussite

La réponse qui va faire complètement bateau mais tant pis, ma plus belle réussite c'est ma fille d'amour !

2- Ton livre préféré

Le genre de question à laquelle on ne peut répondre, je n'ai pas un livre préféré mais plusieurs. Je pourrais citer "Le Comte de Monte Cristo" d'Alexandre Dumas, un livre de Boris Vian ou Vernon Sullivan comme "J'irai cracher sur vos tombes", un livre de John Fante.

3- Le pays qui t'a marqué

Je n'ai pas visité beaucoup de pays étrangers hors de l'Europe mais je vais dire le Burkina Faso parce que le choc culturel et sociétal a été complet.

4- Ton rêve le plus fou

Voler, voir la terre depuis l'espace, devenir un supér héros justicier (on a dit fou n'est-ce-pas ?!)

5- Raconte nous la naissance de ton blog

C'était un week-end où j'étais seule, ma fille avait 4 mois, je n'avais rien de spécial à faire en cette soirée du 16 décembre 2005 j'ai tapé "créer un blog" dans Google. Au départ j'avais besoin de parler de ma fille, de lui parler parce que je venais de reprendre le boulot bien trop tôt. J'ai donc commencé un blog à la mode "je" m'adresse à ma fille et il évolué depuis. J'étais bien seule comme blog de maman puis petit à petit les autres sont arrivées...

6- La personnalité que tu aimerais être

Aucune ! J'aimerai plutôt avoir quelques traits de personnalité que je n'ai pas mais je ne voudrais pas être quelqu'un d'autre ou alors être quelques minutes dans la peau de Niel Armstrong quand il a marché sur la lune.

7- Le don que tu aimerais posséder

La téléportation sans hésiter, quoi que lire dans les pensées des autres me plairait bien aussi...

8- Quel est le plus gros défaut de la personne qui partage ta vie?

Joker parce que droit de véto de la dite personne sur ce blog !

9- Light ou pas light? bio pas bio? Quels sont tes principes alimentaires?

Plutôt pas light, je déteste mais déteste le sale goût que laisse l'aspartame ou le faux sucre en bouche. Le jour ou le light sera sans faux sucre, on verra. Light pour la crème fraîche de temps en temps.

Bio dans l'absolu oui mais je n'ai pas les moyens de tout acheter bio. Marre des discours politiquement corrects sur le bio que peu de gens peuvent se payer en réalité, en tout cas le bio qui a du goût. Comme si c'était la faute des gens, arrêtons de nous culpabiliser... Peut être un jour j'aurais un potager avec du vrai bio ! Je vais faire ma mauvaise foi et dire qu'avant l'arrivée des pesticides les gens mangeaient bio mais ils mourraient très jeunes et pas forcément en bonne santé ! En tout cas je n'aime pas que la réponse au problème des pesticides et de la pollution soit traité par une offre bio que la majorité des familles ne peuvent se payer... Genre, le bio existe donc chacun fait son choix alors qu'en réalité il y a des milliers de solutions à mettre en place et qui concernent tout le monde, pas uniquement les ménages aisés et éduqués.

Mes principes alimentaires c'est manger de tout en essayant de varier légumes, fruits et le reste et se faire plaisir aussi sinon la vie n'est pas drôle !

10- La it-pièce de ton armoire?

Aucune je pense, en tout cas rien en ce moment.

11- Combien de temps passes-tu quotidiennement devant un écran?

Vu que je bosse devant et que j'ai deux heures de transport avec, on va dire minimum 9h et c'est bien trop je le sais...

Sauf les week-ends et le mercredi heureusement où ça varie de 0h à 3h par jour selon l'emploi du temps.

Merci Madame !

Un matin sur le chemin de l'école

"Maman, en fait j'aimerais trop qu'on ait école tous les jours... sauf le dimanche comme ça je te verrais. En fait non, l'école tous les jours et vous je vous vois le matin quand vous m'accompagnez..."

Nina, 8 ans, future ministre de l'Education Nationale (préparez vous à manifester !)

Dans la rue on marche, Nina est derrière moi et je me retourne pour regarder je ne sais plus quoi sur le côté.

Elle sur un ton vindicatif :

"Tu n'es pas la mère de l'homme invisible hein !"

Nina, 8 ans, jalouse de l'homme invisible

"Je voudrais bien avoir un oiseau maman..."

"Mais Nina toi qui aime les animaux, tu sais qu'un oiseau en cage c'est pas génial quand même..."

"Mais maman si, ils sont bien les oiseaux, j'ai vu tu sais là où on achète les oiseaux, on leur donne à manger, on s'occupe d'eux..."

"??"

"Mais si maman, c'est le centre de loisirs des oiseaux..."

Nina, 8 ans, inventrice du concept centre de loisirs pour les animaux, future businesswoman

On fait un gâteau au chocolat, elle veut goûter le blanc en neige et je lui dis qu'elle peut mais que ça n'a pas de goût.

Elle y va quand même et dit :

" Ah oui c'est vrai tu as raison, ça a moins de goût que quand tu me dis que les médicaments n'ont aucun goût !"

Nina, 8 ans, trop maligne, signataire de la pétition "Les parents nous prennent pour des idiots"

"Maman, celui qui a dit qu'il faut garder le meilleur pour le fin, raconte n'importe quoi.

Franchement, si tu manges ce que tu n'aimes pas au début et qu'après tu n'as plus faim pour le meilleur, c'est quand même nul non ? Donc le meilleur on le garde pour le début, pas pour la fin !"

Nina, 8 ans, voudrait toujours commencer par le goûter et le dessert...

Oui je sais, je suis grave en retard, je vous ai habitué à plus de rapidité dans les revues de film pour enfant mais là c'est dur, j'ai moins le temps d'écrire et moins le temps d'aller au cinéma avec Nina, nous ne sommes pas encore hyper organisées dans notre nouvelle région...

Les deux films sont toujours à l'affiche !

Planes de Klay Hall 

J'avais lu tellement d'avis moyens que je m'attendais à être déçue à mon tour et ce ne fut pas du tout le cas. Autant je n'accroche pas à Cars autant je me suis envolée avec Planes !

Je ne vais pas comparer tout le film avec Cars mais rien que le duo Dusty / Chug est beaucoup plus sympathique et fonctionne mieux que Flash McQueen / Martin.

Beaucoup d'humour et d'émotion mais aussi un dessin animé moderne dans lequel les nouvelles technologies sont présentes. Sans parler de la géniale idée d'avoir mis une femme mécano dans la partie ! Les mécanos sont d'ailleurs rigolos avec leur look à la R2D2.

Planes est bien ancré dans l'actualité, les avions roulent à l'éthanol, on parle de recyclage et de participants dopés dans les courses.

J'ai ri avec la voiture aux troubles identitaires, le clin d'oeil à Happy Days avec Fonzarelli (ou peut être il n'y a que moi qui pense à ça !), les sacrées rencontres avec les moines tibétains ou les mariachis.

Les valeurs défendues d'aide, de partage et dépassement de soi sont bien retranscrites et j'ai trouvé ce monde des avions beaucoup plus proche des humains que celui de Cars.

J'ai adoré le côté Top Gun des scènes de courses trés réalistes et tous les paysages traversés qu'on reconnait bien.

Pour une fois, on a vu un dessin animé à trois, Nina a adoré et son papa, ex pilote et fan d'avions, a passé un super moment lui aussi. Il a trouvé que c'était vraiment bien fait.

Nous sommes tous partants pour la suite des aventures de Dusty et ses potes !

"Turbo est un escargot qui n’a qu’un seul rêve en tête : être incroyablement rapide ! Son obsession pour la vitesse l’a rendu quelque peu impopulaire chez les siens, où lenteur et prudence sont de rigueur. Mais il est hors de question pour lui de se conformer. C’est alors que se produit un étrange accident qui lui donne soudainement le pouvoir de foncer à toute vitesse. Il s’embarque alors dans une aventure extraordinaire pour accomplir son invraisemblable destinée : courir contre le plus grand champion de course automobile, Guy La Gagne. Avec l’aide d’une équipe d’escargots aussi rusés que stylés, l’ultime outsider Turbo mettra tout son cœur – et sa coquille, pour prouver qu’aucun rêve n’est trop grand, aucun rêveur n’est trop petit."

C'est un film sympathique et mignon qui plaira aux plus petits dès 3 ans. Un anti-héros au possible, pensez vous faire d'un escargot le personnage principal d'un film, quelle idée ! Et pourtant ça marche à fond. On a envie de l'encourager à vivre son rêve même si c'est perdu d'avance, on sait pertinemment que la magie ne va pas durer.

L'autre bonne idée est d'avoir associé à Turbo, un acolyte plus original que d'habitude en la personne d'un mexicain vendeur de tortillas. Leurs rêves se rejoignent et on croit en ces deux personnages pour lesquels personne n'aurait misé un kopek.

C'est drôle et émouvant ce qu'il faut. J'ai aimé le travail de customisation des escargots qui font les courses de vitesse.

Nina a trouvé le film très chouette et a mis une peluche Turbo sur sa liste de Noël. Ce n'est pas comme si elle avait déjà 60 peluches, je préfèrais quand elle voulait plutôt les figurines !

Crayola vient de lancer son aérographe pour enfant. Une technique qui existait depuis longtemps mais qui n'avait encore jamais été mise à disposition des enfants avec un mécanisme aussi simple.

Contenu de la boite : Un Marker Airbrush, 4 feuilles de pochoirs, 8 feutres lavables Crayola et 10 feuilles de papier blanc.

Le Marker Airbrush peut également fonctionner avec d'autres feutres Crayola de gros diamètres comme les feutres à colorier et les feutres pour tissus.

Comment ça marche ?

On clippe un feutre et attention il faut bien entendre le petit bruit car si le feutre est mal mis ça ne marche pas, on a eu peur la première fois d'être tombé sur un modèle défectueux mais non, j'étais un peu blonde.

Ensuite c'est "pomper, pomper, pomper..." une vingtaine de fois avec la poignée pour obtenir de la pression qui permet de pulvériser l'air sur la pointe des feutres.

Mine de rien on y passé une bonne heure sans que l'on voit le temps filer. Je me suis musclée les bras aussi parce qu'il faut reconnaître que le pompage fait partie intégrante de l'activité ce qui fait que cela reste un loisir à pratiquer de temps en temps et non pas tous les jours. Dommage que l'effet pression ne dure pas plus longtemps parce que c'est quand même grisant d'appuyer sur le stylo et de "pschitter" la peinture. Voyons le côté positif, l'enfant s'amuse, les parents font du sport.

Un cadeau à faire aux artistes en herbe et créatifs de tout acabit !

J'ai un Crayola Marker Airbrush à vous faire gagner. Pour cela il suffit de me dire en commentaire

1 / que vous participez

2 / si cette façon de dessiner vous tente

Jeu ouvert jusqu'au 29 novembre à 20h. Une seule participation par famille et par adresse IP. Annonce du résultat après tirage au sort dans le dernier commentaire du billet.

Ça a commencé avec Candy, Albator et Goldorak, Belle et Sébastien. Il ne s'agissait pas uniquement de regarder un dessin animé mais de savoir ce qui allait se passer pour les personnages. La frustration quand on ne pouvait voir la suite le mercredi suivant...

Puis les séries pour les "grands" que je regardais en douce comme Peyton Place, puis Dallas, puis Dynastie, Santa Barbara, Côte Ouest... et dans d'autres genres Le Prisonnier, Les Mystères de l'Ouest, Mission Impossible, Des agents très spéciaux, Kojak, Starsky et Hutch, Drôles de Dames, Les Envahisseurs, Amicalement Votre, Chapeau Melon et bottes de cuir, Happy Days, Les Têtes Brulées, Ma sorcière bien aimée...

Je regardais beaucoup les séries policières avec ma grand mère et j'adorais ça. Sans parler des génériques des séries dont j'avais les 45 et 33 tours en compilation.

Puis un jour, le choc, l'extraordinaire, la série qui fait date dans la vie d'une sérivore. En 1986, la Cinq, une nouvelle chaîne fait son apparition et diffuse énormément de séries plutôt classiques. Un jour d'avril 1991 la Cinq frappe un grand coup et programme la série événément de David Lynch, Twin Peaks.

Je vous rappelle qu'à l'époque, pas d'internet, pas de cable, pas de dvd, la seule façon de voir des séries c'était à la télé sur les quelques chaînes françaises, le choix était plus que limité.

J'étais étudiante et je me souviens parfaitement de l'hystérie qui a saisi tous ceux qui sont devenus accrocs à cette brillante série. Ceux qui ne la connaissaient pas ne m'intéressaient même pas, je n'avais qu'une envie, parler de Twin Peaks. J'étais en stage et dans mon "chef" était fan lui aussi. Chaque semaine dès qu'un nouvel épisode était diffusé on ne parlait que de ça le matin en arrivant. J'ai écouté la BO d'Angelo Badalamenti en boucle avec mon meilleur ami des soirées durant, j'enregistrais sur le magnétoscope l'épisode que je loupais et me levais le lendemain à 6h du matin pour le voir avant de partir travailler. Je pense que j'ai tellement parlé de la série que mes amis ne s'y sont pas trompés en m'offrant l'intégrale en K7 pour mon anniversaire.

Twin Peaks est en quelque sorte un élément fondateur dans l'histoire des séries. Il y a clairement un avant et un après Twin Peaks.

Depuis il y a eu des dizaines et des dizaines d'autre séries auxquelles j'ai été accroc mais jamais autant, il faut dire que j'avais atteint un niveau de délire absolu.

Qui n'a pas essayé de faire des noeuds avec les queues de cerise comme Sherilyn Fenn alias Audrey Horne ne peut pas comprendre !

On était toujours dans les années 90 et d'autres séries sont apparues à la télé avec toujours l'attente parfois insupportable de la semaine suivante pour découvrir la suite. J'ai succombé à Urgences durant 7 ou 8 saisons sur Antenne 2, Absolutely Fabulous sur Arte, Le Caméléon, à Sex and the City, regardé de loin Friends ou X Files et mon côté midinette a suivi quand il pouvait Beverly Hills et Melrose Place.

En même temps sont apparues les chaînes cablées comme feu Jimmy et on a pu avoir la chance de découvrir les séries américaines et anglaises géniales et pas formatées comme les Sopranos, Queer as folk (UK et US), Dream On, The Shield, Six Feet Under, Seinfeld, Profit (une seule saison dommage car génial), The Practice...

On passe aux années 2000 avec des séries que j'ai suivi du début à la fin et d'autres où j'ai arrêté au bout de quelques saisons comme Dr House, Misfits, Heroes, Prison Break, Californication, 24h Chrono, Damages ... Celles que j'ai adoré comme Lost pour laquelle j'étais bien hystérique (et enceinte !) aussi au début, Dexter même si les saisons sont inégales, Desperate Housewives, Nip Tuck, Weeds et j'en passe.

Celles qui n'ont pas tenu toutes leurs promesses mais que j'ai suivi quand même pour des raisons pas toujours objectives comme Gossip Girl.

Celles dont j'ai regardé un épisode sans accrocher, celles que je ne verrai jamais, celles à côté desquelles je suis passée, celles dont je ne me souviens plus...

Il y celles en cours et dont j'attends la prochaine saison, True Blood (best générique ever), Engrenages (seule série policière française que j'aime), The Killing (il y aura une quatrième et dernière saison), The Following, The Hour (diffusée en ce moment sur Arte), Ainsi soient-ils...

Et les sitcom qui me font ou m'ont fait hurler de rire souvent : Modern Family, Cougar Town, 7ème Ciel, Femmes de Footballeurs...

Et voici les séries du moment que je regarde le matin et le soir dans mon train !

Grey's Anatomy / Saison 10

J'ai tout de suite accroché et je n'ai jamais lâché même si certains épisodes m'ont ennuyée (genre 1 par saison), même si certaines morts de personnages m'ont énervée (ah le final de la saison 5, l'inconnu renversé par un car...) et même très énervée comme celle de Marc ou de Lexie. Par contre quand Izzie est partie j'étais contente tellement son personnage était devenu horripilant. Je regarde cette saison avec encore plus d'émotion sachant que c'est la dernière et qu'il y aura une conclusion aux histoires des uns et des autres.

Homeland / Saison 3

Je n'étais pas attirée par Homeland au départ puis j'ai regardé les deux premières saisons d'une traite il y a quelques semaines et depuis j'attends chaque nouvel épisode de la saison 3 avec impatience. Le supense est vraiment bien mené. Pendant un moment quand j'enchaînais les épisodes, je ne savais plus si j'étais dans la réalité ou la fiction, c'était une impression bizarre.

J'ai également regardé le premier épisode de Hatoufim, la série israélienne dont est inspirée Homeland et j'aime beaucoup, à suivre...

Vampire Diaries / Saison 5

Cette saison 5 ne me passionne pas pour le moment, surtout que Klaus n'est plus là (parti dans le spin-off The Originals), mais je continue à regarder parce que là encore je me suis attachée aux personnages et qu'il y a un nombre de beaux gosses au m2 c'est impressionnant, il me faut ma série midinette ! En fait depuis deux saisons c'est un peu n'importe quoi il faut l'avouer mais j'espère qu'il va encore se passer un truc de dingue malgré tout... Pas sûr que je continue la saison prochaine.

House of Cards / Saison 1

Je viens de commencer et c'est assez jouissif. Kevin Spacey en manipulateur pervers est exceptionnel. Je sens que ça va continuer à me plaire.

Hostages / Saison 1

J'ai vu Dylan McDermott et j'ai craqué ! A l'époque tout le monde regardait Ally McBeal sauf moi, je préférais les histoires d'avocat de The Practice ! Oui c'est moi la fille qui n'a jamais vu un épisode en entier d'Ally McBeal et Robert Downey Jr je l'ai connu au cinéma bien avant. Bref, Hostages est une série à suspense et l'affrontement entre Dylan McDermott et Toni Collette vaut le détour. Quelques incohérences mais je suis à fond dedans. Je me demande comment le scénario du début va réussir à tenir plus que deux épisodes et à chaque fois ça le fait. Et puis Dylan quoi...

Glee / Saison 4

C'est beaucoup moins bien qu'au début mais je continue à regarder parce que ça me donne la patate et que c'est quand même souvent drôle, il y a un nombre de répliques cultes au km. Je suis toujours aussi fan de Sue et de ses attaques capilaires contre Will et j'adore que la série évolue avec les tubes du moment. On verra si je lâche après cette saison.

Masters ox Sex / Saison 1

Une série classe et intelligente qui s'inspire de l'histoire de deux chercheurs chercheurs spécialisés dans l'étude des comportements sexuels, William Masters et Virginia Johnson. J'ai commencé à regarder avec intérêt sans plus puis le final de l'épisode 1 m'a tellement scotchée que je continue. Vraiment intéressant par rapport aux moeurs de l'époque, la place de la femme, du sexe etc...

En stock, en cours de rattrapage et à voir prochainement : Freaks and Geeks, Games of Throne, The Wire, The Good Wife, Mad Men, Boardwalk Empire, Borgen, Downton Abbey et les nouvelles de 2013, Trophy Wife, The Crazy Ones, Peaky Blinders...

En fait, j'arrête jamais ! Et vous ?